Soy anarquista y ser anarquista es ser una persona coherente (paz espiritual, la tranquilidad, el campo, trabajar lo menos posible, el suficiente para poder vivir, disfrutar de la belleza, del sol. Disfrutar de la vida con mayúsculas, ahora se vive en minúsculas). Tener una conducta personal. Llevar las ideas a la práctica al máximo, sin esperar que haya una revolución. Eso se puede hacer ahora. Es una concepción filosófica, es un estado de espíritu, una actitud ante la vida. Pienso que esta sociedad está muy mal organizada, tanto socialmente, como políticamente, como económicamente. Hay que cambiarlo todo. El anarquismo invoca una vida completamente diferente. Trata de vivir esta utopía un poco cada día.
Espai de Libertat 1997
jueves, 8 de diciembre de 2011
miércoles, 30 de marzo de 2011
La Boétie (hacia 1548)
La servidumbre voluntaria:
....Los hombres nacen bajo el yugo,y,criados y educados después en la servidumbre,
sin mirar más alla,se acomodan a vivir tal y como han nacido;
sin pensar disponer de otro bien ni de otro derecho que aquellos que han encontrado,
aceptan la situación en que han nacido como condición natural.....
.......Para conseguir el bien que desea, el hombre emprendedor no teme ningún peligro, el trabajador no escatima ningún esfuerzo. Sólo los cobardes y los perezosos no saben ni soportar el mal, ni recobrar el bien que se limitan a desear. La energía de procurárselo se la roba su propia cobardía; no les queda más que el natural anhelo de poseerlo. Este deseo, esta voluntad innata común a los sabios y a los locos, a los audaces y a los cobardes, les hace apetecer todas aquellas cosas cuya posesión les haría felices y contentos. Hay una sola que los hombres, no se por qué, no tienen ni siquiera fuerza para desearla. Es la libertad, ese bien tan grande y dulce, que cuando se pierde, todos los males sobrevienen y que, sin ella, todos los otros bienes, corrompidos por la servidumbre, pierden enteramente su gusto y sabor. Sólo a la libertad los hombres la desdeñan, unicamente, a lo que me parece, porque si la deseasen la tendrían: como si se rehusasen a hacer esa preciosa conquista porque es demasiado fácil.......
......¡Hombres miserables, pueblos insensatos, naciones envejecidas en vuestros males y ciegas cuando se trata de vuestra felicidad! ¿Cómo os dejáis arrebatar lo más pingüe de vuestras rentas, talar vuestros campos, robar vuestras casas y despojarlas de los muebles que heredasteis de vuestros antepasados? Vivís de manera que pudiérais asegurar que nada poseéis, y aún tendríais a gran dicha el ser verdaderos propietarios de la mitad de vuestros bienes, de vuestros hijos y hasta de vuestra propia existencia. ¿De qué provendrá esta calamidad, este estrago, esta ruina? ¿Acaso de los enemigos? No por cierto: pero sí proviene del enemigo, de aquel Uno que vosotros engrandecéis, de aquel por quien os sacrificáis tan valerosamente en la guerra, ofreciendo vuestros pechos a la muerte para conservarle en su tiranía. Este poderoso que os avasalla, este tirano que os oprime, sólo tiene dos ojos, dos manos, un cuerpo, ni más ni menos que el, hombre más insignificante de vuestras ciudades. Si en algo os aventaja es en el poder que le habéis consentido de destruirnos. ¿De dónde adquiriera él tantos ojos para acecharos si vosotros no se los facilitaseis? ¿Cómo tuviera tantas manos para subyugaros si no las tomara de entre vosotros? ¿Con qué pies hoyara vuestras ciudades sino con los vuestros? ¿Cómo ejerciere el despotismo sobre vosotros sino mediante vosotros? ¿Cómo se atrevería a perseguiros sino estuviera de acuerdo con vosotros? ¿Qué mal pudiera haceros a no constituiros en encubridores de sus rapiñas, cómplices del asesino que os mata y traidores a vosotros mismos? ................
martes, 22 de marzo de 2011
Je viens du sud
J'ai dans le cœur, quelque part,
De la mélancolie,
Mélange de sang barbare
Et de vin d'ltalie,
Un mariage à la campagne
Tiré par deux chevaux,
Un sentier dans la montagne
Pour aller puiser l'eau.
J'ai au fond de ma mémoire
Des lumières d'autrefois
Qu'une très vieille femme en noir
Illuminait pour moi,
Une maison toute en pierres
Que la mer a rongée
Au-dessus d'un cimetière
Où les croix sont penchées.
Je viens du sud
Et par tous les chemins,
J'y reviens...
J'ai dans la voix, certains soirs,
Quelque chose qui crie,
Mélange d'un chant barbare
Et d'un ciel d'ltalie,
Des colères monumentales
Que les vents m'ont soufflées,
Des discours interminables
Après le déjeuner.
Je viens du sud
Et par tous les chemins,
J'y reviens...
J'ai quelque part dans le cœur
De la mélancolie,
L'envie de remettre à l'heure
Les horloges de ma vie,
Un sentier dans la montagne
Quand j'aurai besoin d'eau,
Un jardin dans la campagne
Pour mes jours de repos,
Une maison toute en pierres
Que la mer a rongée
Au-dessus d'un cimetière
Où mon père est couché.
Je viens du sud
Et par tous les chemins,
J'y reviens...
Et par tous les chemins,
J'y reviens...
MICHEL SARDOU
Je l'aime à mourir
DANS LA MAISON VIDE
Je me souviens, de ce musicien c'était l'automne à la maison
Je me souviens moi de ce musicien c'était l'automne sur son violon
Le temps n'est plus où passaient les violons quand tu étais à la maison
Il a tant plu depuis tant de saisons, le temps n'est plus aux violons.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide je passe l'été à écouter
Cette symphonie qui était si belle et qui me rappelle un amour infini.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide je passe ma vie à regarder
Les oiseaux qui passent comme des menaces
Et j'entends l'automne, je n'attends personne.
Je me souviens de ce musicien un soir d'adieu à la maison
Je me souviens moi de ce musicien et de l'adieu sur son violon
Et chaque année lorsque l'année est finie, j'entends le violon de septembre
Et le passé comme une symphonie fait son entrée dans cette chambre.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide, je passe la nuit à écouter
Cette symphonie, aujourd'hui finie et qui me rappelle que tu étais belle.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide je passe ma vie à regarder
Les oiseaux qui passent comme des menaces
Et j'entends l'automne, je n'attends personne.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide, je passe ma vie à écouter
Cette symphonie qui était si belle et qui me rappelle un amour fini.
Dans la maison vide, dans la chambre vide, je passe ma vie à regarder
Les oiseaux qui passent comme des menaces
Et j'entends l'automne, je n'attends personne.
J'ai dans le cœur, quelque part,
De la mélancolie,
Mélange de sang barbare
Et de vin d'ltalie,
Un mariage à la campagne
Tiré par deux chevaux,
Un sentier dans la montagne
Pour aller puiser l'eau.
J'ai au fond de ma mémoire
Des lumières d'autrefois
Qu'une très vieille femme en noir
Illuminait pour moi,
Une maison toute en pierres
Que la mer a rongée
Au-dessus d'un cimetière
Où les croix sont penchées.
Je viens du sud
Et par tous les chemins,
J'y reviens...
J'ai dans la voix, certains soirs,
Quelque chose qui crie,
Mélange d'un chant barbare
Et d'un ciel d'ltalie,
Des colères monumentales
Que les vents m'ont soufflées,
Des discours interminables
Après le déjeuner.
Je viens du sud
Et par tous les chemins,
J'y reviens...
J'ai quelque part dans le cœur
De la mélancolie,
L'envie de remettre à l'heure
Les horloges de ma vie,
Un sentier dans la montagne
Quand j'aurai besoin d'eau,
Un jardin dans la campagne
Pour mes jours de repos,
Une maison toute en pierres
Que la mer a rongée
Au-dessus d'un cimetière
Où mon père est couché.
Je viens du sud
Et par tous les chemins,
J'y reviens...
Et par tous les chemins,
J'y reviens...
MICHEL SARDOU
Je l'aime à mourir
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'a qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
Elle a gommé les chiffres
Des horloges du quartier
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier
Des éclats de rire
Elle a bâti des ponts
Entre nous et le ciel
Et nous les traversons
À chaque fois qu'elle
Ne veut pas dormir
Ne veut pas dormir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Elle vit de son mieux
Son rêve d'opaline
Elle danse au milieu
Des forêts qu'elle dessine
Je l'aime à mourir
Elle porte des rubans
Qu'elle laisse s'envoler
Elle me chante souvent
Que j'ai tort d'essayer
De les retenir
De les retenir
Je l'aime à mourir
Pour monter dans sa grotte
Cachée sous les toits
Je dois clouer des notes
À mes sabots de bois
Je l'aime à mourir
Je dois juste m'asseoir
Je ne dois pas parler
Je ne dois rien vouloir
Je dois juste essayer
De lui appartenir
De lui appartenir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'aura qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir |
Les murs de poussière Il rêvait d'une ville étrangère Une ville de filles et de jeux Il voulait vivre d'autres manières Dans un autre milieu Il rêvait sur son chemin de pierres "Je partirai demain, si je veux J'ai la force qu'il faut pour le faire Et j'irai trouver mieux" Il voulait trouver mieux Que son lopin de terre Que son vieil arbre tordu au milieu Trouver mieux que la douce lumière du soir Près du feu Qui réchauffait son père Et la troupe entière de ses aïeux Le soleil sur les murs de poussière Il voulait trouver mieux... Il a fait tout le tour de la terre Il a même demandé à Dieu Il a fait tout l'amour de la terre Il n'a pas trouvé mieux Il a croisé les rois de naguère Tout drapés de diamants et de feu Mais dans les châteaux des rois de naguère Il n'a pas trouvé mieux... Il n'a pas trouvé mieux Que son lopin de terre Que son vieil arbre tordu au milieu Trouver mieux que la douce lumière du soir Près du feu Qui réchauffait son père Et la troupe entière de ses aïeux Le soleil sur les murs de poussière Il n'a pas trouvé mieux... Il a dit "Je retourne en arrière Je n'ai pas trouvé ce que je veux" Il a dit "Je retourne en arrière" Il s'est brûlé les yeux Il s'est brûlé les yeux Sur son lopin de terre Sur son vieil arbre tordu au milieu Aux reflets de la douce lumière du soir Près du feu Qui réchauffait son père Et la troupe entière de ses aïeux Au soleil sur les murs de poussière Il s'est brûlé les yeux |
Francis Cabrel |
DANS LA MAISON VIDE
Je me souviens, de ce musicien c'était l'automne à la maison
Je me souviens moi de ce musicien c'était l'automne sur son violon
Le temps n'est plus où passaient les violons quand tu étais à la maison
Il a tant plu depuis tant de saisons, le temps n'est plus aux violons.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide je passe l'été à écouter
Cette symphonie qui était si belle et qui me rappelle un amour infini.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide je passe ma vie à regarder
Les oiseaux qui passent comme des menaces
Et j'entends l'automne, je n'attends personne.
Je me souviens de ce musicien un soir d'adieu à la maison
Je me souviens moi de ce musicien et de l'adieu sur son violon
Et chaque année lorsque l'année est finie, j'entends le violon de septembre
Et le passé comme une symphonie fait son entrée dans cette chambre.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide, je passe la nuit à écouter
Cette symphonie, aujourd'hui finie et qui me rappelle que tu étais belle.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide je passe ma vie à regarder
Les oiseaux qui passent comme des menaces
Et j'entends l'automne, je n'attends personne.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide, je passe ma vie à écouter
Cette symphonie qui était si belle et qui me rappelle un amour fini.
Dans la maison vide, dans la chambre vide, je passe ma vie à regarder
Les oiseaux qui passent comme des menaces
Et j'entends l'automne, je n'attends personne.
Michel Polnareff
miércoles, 9 de marzo de 2011
TOMAS HARDY
A WEEK
On Monday hight I closed my door,
And thought you were not as heretofore,
And little cared if we met no more.
I seemed on Tuesday night to trace
Something beyond mere commonplace
In your ideas,and heart,and face.
On Wednesday I did not opine
Your life would ever be one with mine,
Though if it were we should well combine.
On Thursday noon, I liked you well,
And fondly felt that we must dwell
Not far apart,whatever befell.
On Friday it was with a thrill
In gazing towards your distant vill
I owned you were my dear one still.
I saw you wholly to my mind
On Saturday even one who shrined
All that was best of womankind.
As wing-clipt sea-gull for the sea
On Sunday night I longed for thee,
Without whom life were waste to me!
UNA SEMANA
Cerré mi puerta el lunes por la noche,
y pensé que ya no eras como antes,
no me inportó si nunca
jamás nos encontrásemos.
Me pareció que el martes por la noche
trazaba alguna cosa más allá
de algún lugar común en tus ideas,
tu corazón,tu rostro.
No creí el miércoles
que tu vida y la mía pudiesen ser la misma.
sin embargo,si esto sucedie
combinaríamos muy bien.
A mediodía,el jueves deseé
tu bien y,con cariño,
sentí que no debíamos vivir
lejos ni separados,pasara lo que fuese.
El viernes yo miraba emocionado
tu casa en la distancia
suponiendo que aún eras mi única amada.
Entera te veía yo en mi mente
el sábado:incluso entronizaste
lo mejor de la especie femenina.
Como ala de gaviota por el mar,
te anhelaba en la noche del domingo:
a ti,sin quien la vida
estaría desierta para mí.
HE NEVER EXPECTED MUCH
Well,World you have kept faith with me,
Kept faith with me;
Upon the whole you have proved to be
Much as you said you were.
Since as a child i used to lie
Upon the leaze and watch the sky,
Never,i own,expected i
That life would all be fair.
'Twas then you said,and since have said,
Times since have said,
In that mysterious voice you shed
From clouds and hills around:
'Many have loved me desperately,
Many with smooth serenity,
While some have shown contempt of me
Till they dropped underground.´
'I do not promise overmuch,
Child,overmuch;
Just neutral-tinted haps and such.'
You said to minds like mine.
Wise warning for your credit's sake!
Which I for one failed not to take,
As each year might assign.
NUNCA ESPERÉ MUCHO
Bien,Mundo:has sido
leal conmigo,leal conmigo.
Has demostrado ser en gran medida
tal como tú decías.
Ya que,cuando de niño acostubraba
a yacer en el prado y mirar hacia el cielo,
nunca esperé, lo confieso,que fuera
del todo justa la vida.
Era entonces cuando tú lo decias,
después lo repetías
muchas veces depués de haberlo dicho,
con esta voz misteriosa que vertías
desde las nubes,desde las colinas:
"Muchos me han amado
desesperadamente,muchos
con tranquila serenidad.
Y algunos han mostrado su desprecio
por mí hasta su caída bajo tierra.
No te prometo demasiado,
muchacho,demasiado.
Sólo episodios similares,
intrascendentes",
dijiste a mentes como la mía.
Sabia advertencia que te honra
y a la que no hice caso yo una vez.
Cómo era necesaria cada año:
puedes repetirla.
TOMAS HARDY
On Monday hight I closed my door,
And thought you were not as heretofore,
And little cared if we met no more.
I seemed on Tuesday night to trace
Something beyond mere commonplace
In your ideas,and heart,and face.
On Wednesday I did not opine
Your life would ever be one with mine,
Though if it were we should well combine.
On Thursday noon, I liked you well,
And fondly felt that we must dwell
Not far apart,whatever befell.
On Friday it was with a thrill
In gazing towards your distant vill
I owned you were my dear one still.
I saw you wholly to my mind
On Saturday even one who shrined
All that was best of womankind.
As wing-clipt sea-gull for the sea
On Sunday night I longed for thee,
Without whom life were waste to me!
UNA SEMANA
Cerré mi puerta el lunes por la noche,
y pensé que ya no eras como antes,
no me inportó si nunca
jamás nos encontrásemos.
Me pareció que el martes por la noche
trazaba alguna cosa más allá
de algún lugar común en tus ideas,
tu corazón,tu rostro.
No creí el miércoles
que tu vida y la mía pudiesen ser la misma.
sin embargo,si esto sucedie
combinaríamos muy bien.
A mediodía,el jueves deseé
tu bien y,con cariño,
sentí que no debíamos vivir
lejos ni separados,pasara lo que fuese.
El viernes yo miraba emocionado
tu casa en la distancia
suponiendo que aún eras mi única amada.
Entera te veía yo en mi mente
el sábado:incluso entronizaste
lo mejor de la especie femenina.
Como ala de gaviota por el mar,
te anhelaba en la noche del domingo:
a ti,sin quien la vida
estaría desierta para mí.
HE NEVER EXPECTED MUCH
Well,World you have kept faith with me,
Kept faith with me;
Upon the whole you have proved to be
Much as you said you were.
Since as a child i used to lie
Upon the leaze and watch the sky,
Never,i own,expected i
That life would all be fair.
'Twas then you said,and since have said,
Times since have said,
In that mysterious voice you shed
From clouds and hills around:
'Many have loved me desperately,
Many with smooth serenity,
While some have shown contempt of me
Till they dropped underground.´
'I do not promise overmuch,
Child,overmuch;
Just neutral-tinted haps and such.'
You said to minds like mine.
Wise warning for your credit's sake!
Which I for one failed not to take,
As each year might assign.
NUNCA ESPERÉ MUCHO
Bien,Mundo:has sido
leal conmigo,leal conmigo.
Has demostrado ser en gran medida
tal como tú decías.
Ya que,cuando de niño acostubraba
a yacer en el prado y mirar hacia el cielo,
nunca esperé, lo confieso,que fuera
del todo justa la vida.
Era entonces cuando tú lo decias,
después lo repetías
muchas veces depués de haberlo dicho,
con esta voz misteriosa que vertías
desde las nubes,desde las colinas:
"Muchos me han amado
desesperadamente,muchos
con tranquila serenidad.
Y algunos han mostrado su desprecio
por mí hasta su caída bajo tierra.
No te prometo demasiado,
muchacho,demasiado.
Sólo episodios similares,
intrascendentes",
dijiste a mentes como la mía.
Sabia advertencia que te honra
y a la que no hice caso yo una vez.
Cómo era necesaria cada año:
puedes repetirla.
TOMAS HARDY
martes, 8 de marzo de 2011
Le boudin
Tiens, voilà du boudin,
voilà du boudin,
voilà du boudin.
Pour les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains,
pour les Belges y en a plus,
pour les Belges y en a plus,
ce sont des tireurs au cul,
pour les Belges y en a plus,
pour les Belges y en a plus;
ce sont des tireurs au cul.
Tiens, voilà du boudin,
voilà du boudin,
voilà du boudin.
Pour les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains,
pour les Belges y en a plus,
pour les Belges y en a plus,
ce sont des tireurs au cul,
pour les Belges y en a plus,
pour les Belges y en a plus;
ce sont des tireurs au cul.
Tiens, voilà du boudin,
voilà du boudin,
voilà du boudin.
Pour les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains,
pour les Belges y en a plus,
pour les Belges y en a plus,
ce sont des tireurs au cul,
pour les Belges y en a plus,
pour les Belges y en a plus;
ce sont des tireurs au cul.
Nada ha ganado el orbe con mi venida;
no perderá su gloria por mi salida.
Mis oídos no escucharon nunca a nadie:
¿por qué mi llegada?
¿por qué mi partida?
Levantate,mi vida,que ya apunta la aurora;
bebe muy suave el vino,puntea el arpa y toca.
De aquellos que marcharon,no volverá ninguno.
Y,para quienes quedan,la estancia será corta.
el ultimo
Contra una piedra,mi copa he estrellado,
completamente loco,completamente embriagado;
Oír me ha parecido que decía susurrando:
"Tú serás como yo,yo fui tú en el pasado".
ROBAIYAT
Omar Jayyam.
no perderá su gloria por mi salida.
Mis oídos no escucharon nunca a nadie:
¿por qué mi llegada?
¿por qué mi partida?
Levantate,mi vida,que ya apunta la aurora;
bebe muy suave el vino,puntea el arpa y toca.
De aquellos que marcharon,no volverá ninguno.
Y,para quienes quedan,la estancia será corta.
el ultimo
Contra una piedra,mi copa he estrellado,
completamente loco,completamente embriagado;
Oír me ha parecido que decía susurrando:
"Tú serás como yo,yo fui tú en el pasado".
ROBAIYAT
Omar Jayyam.
Rimas y versos,textos para guardar.
Todo cabe:lo viejo,lo nuevo,lo conocido,lo olvidado. textos para recordar..... por que producen placer o quizás despierten verdades,por que el sonido de su letra recitada embriaga, aire fresco, excusa para releer....memorizar y no olvidar.
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